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6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 15:59

Bien, à part Gadjila qui n’a pas répondu mais qui est là je le sais tu peux sortir de ta cachette, nous sommes tous prêts. Je vous rappelle la situation :

 

Vous êtes au Bloc, contrôlé par le Khan-Tempête Barzaad.

Votre troupe comporte :

-          Membres de l’expédition dans les marais

Elmond

Aardîn et ses hommes Makh et Routhômiel

Gadjila

Minsc

Bog,

Ankubi l’Agimori Taureau-Tempête

Et votre guide le canard Claquebec qui restera au Bloc où il habite.

 

-          Membres qui sont restés au camp :

La trollesse Krokar, le trollkin mahout, Delisha la Sable rebelle

 

Vous avez un moulon de trucs à partager.

 

Une pierre de vérité

Un trident magique

2 cristaux de 4,6 et 12 points

Un cristal cassé qui devrait intéresser Lankhor Mhy contre une analyse de vos objets

Un acide très puissant dans une outre en peau de lycanthrope

2 potions magiques à analyser

Une dose de venin de lame

Des armes diverses

Quelques bijoux et des pièces d’or

Deux colliers d’esclaves

Une dizaine d’esclaves

 

Estimation : tant que les objets magiques n’auront pas été analysés, on ne peut pas les estimer. Une pierre de vérité se compte généralement en dizaines de milliers de Lunars. Elmond estime votre butin hors pierre de vérité et trident entre 30 et 40.000 L. Vous êtes 9. Je vous suggère de vous partager d’abord les objets connus puis de régler le reste plus tard quand vous connaîtrez la valeur complète du butin.

 

Pierre de vérité : il faudra la cacher à Barzaad, à moins de trouver des arguments pour contester sa revendication, par exemple que la pierre n’a pas été trouvée alors qu’elle était tombée du Bloc mais chez des chaotiques et peut-être même volée à de bon guerriers venus de loin, donc elle sort de la règle qui veut que toute nouvelle pierre trouvée soit remise au Khan dirigeant le camp. En lui donnant une esclave Licorne en cadeau + un jet de CHA vs INT, ca devrait passer. Vous tentez quoi ? De le convaincre ou de planquer la pierre –une divination est vite arrivée ?

La pierre de vérité devra être analysée avant de savoir ce qu’elle vaut et auprès de qui.

 

Sauf contrordre :

Le trident sera remis à Zola-Fel et tout le monde pourra se partager la récompense.

Les cristaux 4, 6 et 12 points.

Claquebec veut garder le cristal à 6 points ou celui à 4 points + 2000L et l’esclave humakti + des armes, ce qui semble honnête à Elmond qui sait compter.

 Routh pourrait filer son cristal 3 à Makh et en prendre un plus gros.

Qui prend quoi ?


Les armes (du menu fretin) :

Makh prend une grande hache

Claquebec prend petites armes (2 épées courtes, petit bouclier, 4 dagues de lancer)

 

Restent 2 arbalètes.

 

Les Esclaves :

Aardîn prend le Bison comme esclave

Gadjila prend la femme lunare et voudrait aussi le sage. Mais Elmond le revendique aussi.

Bog prendrait bien les 3 humains Sartarites (2 hommes, une femme).

La Licorne sera donnée comme concubine à Barzaad.

Claquebec prend l’Humakti. Avec le reste, il est content et ne réclamera rien de plus.

 

Restent un Lunar et deux étrangers.

 

Les colliers d’esclaves : vous pouvez les utiliser et les revendre plus tard.

 

Les bijoux et les pièces : on les partagera.

 

Pour revendre des choses, sauf contrordre, nous ferons la même opération qu’après l’expédition de la caverne de Balastor : vous passez par Elmond qui prend sa commission, sinon vous ne saurez pas comment les refourguer.

 

Donc :

-          Tentez-vous d’embrouiller Barzaad ou de cacher votre pierre ?

-          Répartition des cristaux ?

-          Que faites-vous des 3 esclaves qui restent ?

-          Qu’accordez-vous à ceux qui ont gardé le camp (Delisha et Krokar) ?

 

Ensuite vous rentrerez et nous pourrons voir que faire des objets magiques que vous avez récoltés.

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21 juin 2011 2 21 /06 /juin /2011 17:36

Vous vous reposez après avoir foutu les cadavres dans un coin, parce que ca cocotte. Vous pouvez taper dans les réserves de poisson séché et Bog a le gros insecte pour se régaler. Vous devez boire l’eau des marais, elle sent un peu la vase.

 

Oiseau Bleu fait une analyse sur le cristal cassé. Il prend l’objet, s’assoie et ferme les yeux. Il se concentre en se lissant la barbe puis rouvre les yeux. « Et bien ce cristal n’a plus aucun effet particulier, désolé. Il lui reste une aura magique par essence, mais il est inutilisable. Mais il serait intéressant pour l’avancée du Savoir de comprendre comment il a été cassé. Un temple du Savoir serait intéressé. Je serais très honoré si vous me le donniez pour étude, et je vous ferais en échange profiter de ma magie, voire vous enseignerais un sort ou une compétence pour une valeur de 1500 piéces lunares.

Il me faut cependant me recueillir dans un temple du Savoir afin de pouvoir demander à Lankhor My de me gratifier à nouveau du pouvoir d’analyse de magie."

Un adepte de Lankhor My est cher mais honnête, surtout avec un allié d’Issaries. Tout au plus pourrait-il dire la vérité de manière à ce que vous compreniez de travers. Vous n’avez pas de raison de ne pas le croire.

 

Les TT s’appliquent à renverser l’autel dans le temple et à gratter les runes. Le petit tunnel où étaient cachés les œufs est bouché en frappant sur les parois qui s’effondrent. La chouette remonte en surface pour monter la garde, puis Bog. Rien ne vient perturber l’île, même si on aperçoit des ombres inquiétantes flotter sur l’eau ou glisser derrière les arbres et les buissons, ou des bruits inconnus : quelques Gorps ou Escargots-Dragons à la recherche de proies.

 

Le lendemain, la troupe se met en marche. Vous sortez à la surface pour retrouver la chaleur dès potron-minet et malgré cette brume aujourd’hui plus légère. Vous voyez à la lumière du soleil comme les esclaves ont l’air mal en point, fatigués et la peau brûlée par le soleil. L’humaktien a pris une épée courte, et qui une arbalète, qui un trident. La femme de la tribu des Licornes prend une épée courte aussi. Elle est praxienne. Les esclaves vous montrent le radeau qui les a amenés jusqu’ici avec leurs ravisseurs. Il y aura d’autres radeaux de l’autre côté pour traverser. Vous pouvez y entasser vos prises [la liste est dans le post précédent] et jusqu’à 8 personnes.

 

Comment vous organisez-vous ? Après avoir rejoint la rive en radeau, refaites-vous le tour par la forêt ou au plus rapide en traversant les marais en radeau au sud de 14 [voir votre carte] ?

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31 mai 2011 2 31 /05 /mai /2011 09:14

Il faut que je sache précisément qui fait quoi et va où. Qui va voir les prisonniers, que font les autres et où, etc. Ensuite, je pourrai réagir en conséquence. Essayez d'être précis svp. N'oubliez pas que la zone du tunnel creusé entre les salles et la dernière caverne aux Scorpions n'est pas éclairée.

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1 mai 2011 7 01 /05 /mai /2011 17:41

Votre bateau est une gêne pour tailler un chemin parmi les roseaux, mais le gros crapaud ne devrait pas vous poser de problème. Claquebec suggère une tactique canarde qui consiste à se serrer et à former une pyramide afin de paraître plus gros, trop gros pour le batracien. À moins de 15 mètres du crapaud, aucun Taureau-Tempête ne détecte de Chaos. Le batracien vous regarde d’un œil glauque. Quelques flèches et un gadin de Bog suffisent à le déranger. Il se tourne, vous montre son séant et retourne doucement par le petit sentier qui part au sud.

Votre route continue vers 14. Là, vous retrouvez les traces de passage de nombreux pieds humanoïdes vers le nord, en direction de l’île. Plus loin, sur le bord du sentier, un peu caché dans les joncs, les restes humains repérés par le faucon, déjà bien entamés par les mouches et les charognards. à vue de nez, dit Ankubi le chasseur émérite, le cadavre doit dater des traces, 2 à 3 jours. Pour en être sûr, il faudrait observer de plus près, mais Ankubi a trop peur d’attraper des maladies dans ce nid à Chaos. Un volontaire ?

 

Quoiqu’il en soit, vous parvenez au bout du sentier. Le terrain est beaucoup plus ouvert, offrant une belle vue sur l’île, et vice-versa. Effectivement, un menhir semble en orner le sommet. Les traces de pas bifurquent vers la berge. Il vous faut être prudent pour atteindre le bois sans être vus. Ensuite, vous pouvez trouver un endroit en retrait hors de vue de l’île. Pour l’observation de celle-ci, ou bien vous n’envoyez que les oiseaux, ou bien certains s’approchent et se cachent [jet de camouflage nécessaire].

 

Vous avez environ 6 heures de repos devant vous.

 

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5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 12:58

Tout le monde est en place, c'est aux nageurs Gadjila et Claquebec d'agir d'abord.

 

Gadjila et Claquebec lancent tout deux un sort de confusion sur le Triton-Scorpion qui doit leur permettre de gagner du temps pour se préparer, car confusion ne sert plus à rien dès qu’on attaque. Gadjila échoue, mais heureusement pas Claquebec. Kzymp le Triton-Scorpion, ne comprenant pas ce qui se passe, se ramasse à fleur d’eau à la vue de Claquebec, mais le fond est trop haut pour le cacher. Claquebec, tout en lançant un sort de vivelame, attire l’attention du monstre pour laisser à Gadjila, bien cachée,  la possibilité de le contourner.

Depuis la rive, Elmond tire son carreau alimenté par un sort de multimissile. Les quatre carreaux touchent, mais deux rebondissent sur la peau très dure de Kzymp le Triton-Scorpion. Deux le blessent légèrement. Il est un peu affolé, alors que Claquebec l’engage. Kzymp tente d’abord d’envelopper Claquebec dans son filet, mais l’agile Durluz esquive d’un vif coup de palme. Il ne place pas encore de riposte car il sait que la queue du Scorpion n’a pas encore frappé : il reste sur la défensive. La queue se lance sur Claquebec mais le manque, et il peut l’accrocher de sa fine lame, mais Kzymp a une peau particulièrement épaisse que la lame de Claquebec ne peut entamer (pa 9 !). Gadjila a réussi à se glisser derrière Kzymp avec sa lame de feu et, malgré l'eau jusqu'à la taille qui la gêne, la lui plante violemment dans l’épaule, mais ne le blesse que superficiellement.

Kzymp se retourne dans une grande gerbe d'eau pour s’attaquer à Gadjila. « Pare la queue ! » lui crie Claquebec.  Kzymp manque son coup de filet, la rapière de Claquebec rebondit encore sur la peau dure. Gadjila se fend alors de tout son long en invoquant tous les Dieux et en y mettant toute sa force. Kzymp ne réussit pas à interposer son trident et Gadjila lui fiche son épée de feu en plein dans la poitrine en pousseant de tout son poids [18 points de dommage, sans empalement !]. La lame y pénètre et le triton-Scorpion s’écroule, inerte, dans l’eau : il semble mort. C'est la deuxième fois que la lame de feu de Gadjila montre son efficacité!

 

Sous l’effet du sort de confusion, Kzymp n’a pas non plus eu la présence d’esprit de crier pour donner l’alerte à ses camarades. Vous pouvez continuer. Claquebec et Gadjila s’approchent prudemment par l’eau de la zone d’embuscade (ou vous changez d‘avis ?) alors que les autres passent par la terre.

 

En 1, Minsc, Elmond et Ankubi bifurquent à droite alors que Bog et les Sables continuent, guidés par le faucon. Au bout de même pas 100 mètres [entre 2 et 3], le Troll et les Sables ont leur attention attirée par quelque chose de brillant par terre : ils voient dans les roseaux une tête humaine en marbre au sourire étrange, presque effrayant, et dont les yeux en matière brillante reflètent la lumière du soleil.

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20 mars 2011 7 20 /03 /mars /2011 11:16

Tant que vous attendez la fin du brouillard, vous récupérez effectivement un peu plus de POU de réserve : déjà 1 a 3 points chacun selon les cas. Vous avez pu aussi remplir un point de POU dans vos cristaux.

Le jour s’est levé depuis environ une bonne heure mais le brouillard persiste, bloquant la vue au-delà de 10-15m : vous voyez à peine la lisière. Bah, d’ici une heure vous devriez pouvoir partir. Vous êtes aux aguets, tranquilles et silencieux. Depuis el lever du soleil, seuls les bruits de la forêt vous font sursauter de temps en temps. Mais ils sont lointains. Soudain, Elmond, Gadjila et Aardîn entendent vers le S-E des craquements, tout près de vous mais encore dans le brouillard. Minsc et Ankubi, eux, font leur tête de Taureaux-Tempêtes ayant senti le Chaos : quelque chose de chaotique s’est approché à moins de 15m, caché par le brouillard et les arbres - ou la magie.

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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 18:06

Vous quittez le sentier pour patauger dans la boue. Vos pieds s’enfoncent dans le sol spongieux  -sprotch- libérant une odeur de vase dégoûtante. Vous vous frayez un chemin difficilement au travers des joncs et des roseaux à grands coups de haches et de glaives. Cette fois, c’est plutôt à Bog de tracer la voie en écrasant la végétation.

Dans l’eau, Claquebec et Gadjila doivent souvent attendre. Ils peuvent en profiter pour surveiller les alentours. Le faucon tourne, la chouette dort et pourra être utilisée la nuit. A ce rythme, il vous faudra au moins 2 heures pour atteindre la zone boisée. Pendant ce temps, Ankubi et sn faucon font leur rapport : 20mn après votre départ, le triton-scorpion resté à l’affût sort de sa cachette et disparaît sous l’eau. Le faucon le voit à nouveau plus tard là où vous vous étiez cachés, qui a l’air de fouiner. Il marche un vingtaine de mètres dans votre direction puis retourne se cacher sous l’eau. Apparemment, il retourne vers là où il était, mais le faucon le perd.

Claquebec estime que là où vous êtes, l'eau n'est pas assez profonde pour cacher une aussi grosse bête qu'un triton-scorpion.

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7 février 2011 1 07 /02 /février /2011 17:33

Et bien il est temps de se mettre en marche. Les Canards vous ont fabriqué un beau radeau de joncs pour 20L. Vous pouvez le porter à 2 ou 3 pour éviter de trop l’abîmer avant d’arriver aux marais.

Vous contournez le Bloc par le Sud. Il vous faut traverser le Bon Canal, guéable à cette époque de l’année, puis bifurquer au SE pour longer les marais -mais pas trop près. Claquebec le Canard est lent, il vous faut une journée pour parvenir au sentier de dent-de-pierre. Vous devrez donc camper à proximité, mais pas trop près des Marais. Le mieux serait de pénétrer dans les Marais au petit jour afin d’avoir le plus de temps possible avant la nuit.

 

Chacun est équipé de protections de cuir souple et au plus d’une broigne sur le torse. Les armures rigides sont laissées sur la barque ou portées avec des lacets : les membres doivent avoir un minimum de liberté pour nager ou se sortir de la boue.

Vous êtes le soir au bivouac. Demain, vous pénètrerez dans un des lieux les plus chaotiques de Glorantha. On a beau vouloir chercher à détruire le Chaos, cet endroit est particulièrement inquiétant et dangereux. Demain, les rôles seront inversés : c’est vous qui serez minoritaires dans un environnement chaotique. Des noms à glacer le sang vous traversent l’esprit : Cacodémon, que vous connaissez bien, né dans ces Marais, Malia, l’esprit des maladies, Thed, mère des Brous, Bagog, mère des Hommes-Scorpions, le Chaos Primaire, entité chaotique primordiale, les Parties du Diable, esprits malfaisants, Vivamort, le vampire originel, Krajlk, maître des créatures monstrueuses, Krarsht, La-Bouche-Qui-Attend et bine d’autres encore… et sous l’énorme Bloc gît Wakboth, le Diable, maître de toutes les monstruosités chaotiques.

 

L’ambiance est plutôt au recueillement. On parle peu, de peur de déranger quelque esprit malfaisant. Ceux qui s’expriment le font plus pour se rassurer et chasser les démons de leurs pensées. La chouette se réveille. Prichti le chat de l’ombre s’endort aux pieds de son maître.

Il est temps pour vous de me dire comment vous vous organiserez demain.

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21 décembre 2010 2 21 /12 /décembre /2010 16:44

Le lendemain, au lever du jour, vous pouvez voir un peu mieux à quoi ressemble ce camp. C’est un joyeux désordre s’étendant sur une grande surface. Il y a des centaines de tentes et de yourtes, des troupeaux divers et bêlants, des clans entiers avec familles…et surtout des Nomades Taureaux-Tempêtes. Ces gens sont susceptibles et bagarreurs.

 

Le Bloc est très imposant, mais moins lisse et régulier qu’il en avait l’air de loin. Son sommet est couvert de nuages qui s’étirent vers l’ouest, jusque vers… oui, là-bas, vers l’ouest, à l’horizon, les monts de Sartar dont vous devinez la mince ligne bleue au loin.

 

Aardîn se renseigne sur la praticabilité des marais pour des bêtes. Ca dépend des bêtes bien sûr, les Canards qui vivent au bord des Marais peuvent y aller facilement, ahahah. Il y a des chemins à sec ou très peu profonds, mais il faut les connaître car si on les quitte, on risque de tomber sur des sables mouvants ou simplement de la vase dans laquelle les pattes des bêtes s’enfoncent mieux que nos pieds. La plupart y vont à pied et laissent leurs bêtes en garde à leur clan.

 

Que font les autres ?

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